Le 7 juillet dernier, le Social Selling Forum faisait une halte à Lyon. Sous le patronage de Loïc Simon et malgré des températures caniculaires, Stéphane Py, directeur du développement de Nomination, a livré son expertise en compagnie d’autres praticiens du social selling. Le Social Selling étant l’art d’exploiter les réseaux sociaux et les nouveaux outils de SalesTech dans une volonté de synergie entre ventes et marketing. Voici un condensé de ce qu’il ne fallait pas rater des ateliers et plénières.
LinkedIn ? Un canal parmi d’autres
« Un marteau seul ne plante pas un clou, c’est la même chose pour les outils dont vous vous équipez ». A l’unisson des autres contributeurs, Stéphane Py met en garde contre la profusion de solutions censées apporter de la réussite dans le domaine du social selling. Et de poursuivre son raisonnement en prenant l’exemple des réseaux sociaux qui ne servent pas l’efficacité commerciale et marketing. A ce titre, le très prisé LinkedIn est avant tout un vecteur de promotion sociale. « D’après notre pratique, 37% des fiches sont fausses ou obsolètes sur LinkedIn. Faute de recherches poussées, pas moins de cent personnes se disent directeur marketing chez L’Oréal ! », énumère-t-il. Cette situation tient en grande partie au format déclaratif : « Dans le cadre de nos partenariats avec de grandes écoles de commerce, nous constatons qu’environ 20% des diplômes indiqués sur LinkedIn n’ont jamais été délivrés ». De plus, un tiers des cadres supérieurs en est absent ainsi que près de la moitié des C-Level. Et Stéphane Py de fermer le banc : « Linkedin n’est qu’un canal parmi d’autres ».
Distinguer les pièces de l’organigramme
La qualité de la data se révèle donc essentielle au moment de s’adresser à une audience. Ainsi, il faut être en mesure de parler à la bonne personne. Ceci est d’autant plus vrai qu’aujourd’hui entre six et sept décideurs sont… Pour découvrir la suite, télécharger la synthèse ICI